Dernières mises en ligne
La "médecine anthroposophique" n'est pas une méthode à risques sectaires, selon la justice
Selon le tribunal administratif de Paris, "la médecine anthroposophique" n’entre pas dans la définition des mouvements à risques de dérives sectaires. La Miviludes, qui estime que la validation scientifique de cette "médecine" n’est pas faite, fait appel.
De la confiance que l'on peut avoir dans le penser
- Écrit par Rudolf Steiner
Extrait de "Le seuil du monde spirituel" (récits aphoristiques),
Chapitre I « De la confiance que l'on peut avoir dans le penser et de la nature du psychisme pensant. De la nature de la méditation. »
Rudolf Steiner – GA 17
Éditions Triades poche
Au sujet de la nature des vérités anthroposophiques
- Écrit par Rudolf Steiner
Extrait de la conférence du 22 octobre 1909
« Missions de la colère, de la vérité, de la dévotion », Triades poche, pg 55 à 58
(Rudolf Steiner - GA 58, et non pas 59)
(2006 - Traduction Georges Ducommun) :
De la nature abstraite des concepts
- Écrit par Rudolf Steiner
Note de la rédaction : dans le court extrait ci-dessous issu de l’ouvrage « Des énigmes de l’âme » (GA 21) publié par Rudolf Steiner en 1917, est abordé sous un angle anthroposophique, le problème fondamental suivant : quelle est la relation entre les concepts abstraits et la réalité perçue par les sens ? Quels rapports aussi entre les réalités suprasensibles et les concepts ? En quoi est-il si important, au cours de son évolution, que l’être humain développe un penser conceptuel abstrait ?
Captivité occulte... vraiment ?
- Écrit par Michel Laloux
Dans Das Goetheanum N° 17 du 21.04.2017, était publié un article de Johannes Kiersch. Il portait le titre « Entourée d’images, la Société anthroposophique est-elle en situation de « captivité occulte » ? ». J’ai été surpris par son contenu. Les lignes qui suivent montreront que la question posée dans l’article mérite d’être traitée avec une précision beaucoup plus grande que ne le fait l’auteur. Faute de quoi, l’utilisation de la notion de captivité occulte risque d’ajouter de la confusion au sein de la Société anthroposophique et dans les rapports des membres entre eux.
Les métamorphoses corps-âme-esprit et leurs images dans le triangle
- Écrit par Michel Laloux
Liens entre tripartition et quadripartition de l’être humain
La constitution de l’être humain est basée sur la notion de corps-âme-esprit. Nous savons qu’au cours du temps, s’opère une métamorphose du corps à l’âme, puis de l’âme à l’esprit. Elle se manifeste aussi bien dans l’évolution de l’humanité que dans le cours d’une biographie. Dans ce dernier cas, la connaissance de cette double métamorphose est très utile, tant pour la connaissance de soi que pour celle de notre entourage, surtout lorsque l’on s’occupe d’éducation ou de thérapie.
La vie spirituelle libre et l'avenir de la civilisation
- Écrit par Karl-Martin Dietz
La "vie spirituelle libre" semble entrer dans une période de crise. Des problèmes de direction, de communication et de travail communautaire surgissent au premier plan et détournent des véritables buts visés. L'esprit est mort – que vive la gestion! Ou bien, "une libre vie de l'esprit" signifie-t-elle que chacun peut faire ce qu'il veut? Cette appréciation des choses est vécue de multiple manière et même exprimée lorsqu'il s'agit de se faire le champion de prétendus "espaces de liberté". La "liberté" de la vie spirituelle se restreint alors à une non-ingérence de l'extérieur. Qu'il puisse aussi exister une immixtion de "l'intérieur", cela reste en dehors de toute considération. Et l'essentiel fait totalement défaut: Comment sont remplis de tels espaces de liberté ainsi créés? Il n'est pas rare d'entendre l'état corporatif s'exclamer sans autre forme de procès: les enseignants appartiennent à la vie spirituelle, le comité de l'association des représentants répond de la vie juridique, les parents passent avant tout pour des facteurs économiques. Accompagnée de telles opinions plus ou moins conscientes, la véritable mission de la libre vie de l'esprit, la productivité spirituelle, s'égare.