« Que se passe-t-il actuellement en Israël, au Liban, en Palestine et au Moyen-Orient ? Est-il possible de se sortir d’un conflit aussi catastrophique ? En quoi un conflit de cette nature entre-t-il en résonnance avec un processus malsain présent dans tous les États du monde ?
(...) ce qui se passe en Israël et en Palestine est peut-être à voir comme une des formes les plus fortement accentuées de problèmes qui existent partout ailleurs, dans tous les autres États du monde. C'est-à-dire la problématique de l'État qui tend à s’occuper de la totalité de la vie de chaque être humain individuel (...) »
La vidéo sera publiée le 09/11/2024 à 09h30. Merci de patienter.
Sur le présent site web, deux articles parmi beaucoup d'autres, en relation avec la présente vidéo :
- DOSSIER : Rudolf Steiner en lutte contre le racisme, le nationalisme, l'antisémitisme
- Dépasser le nationalisme pour aller, au-delà de la nation, vers un humanisme universel
Texte complet de la vidéo
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Que se passe-t-il actuellement en Israël, au Liban, en Palestine et au Moyen-Orient ? Est-il possible de se sortir d’un conflit aussi catastrophique ? En quoi un conflit de cette nature entre-t-il en résonnance avec un processus malsain présent dans tous les États du monde ?
En quelques minutes il est bien sûr tout à fait impossible de dresser une vue d’ensemble de situations d’une extrême complexité et particulièrement tragiques, qui ont débuté au Moyen-Orient il y a bien longtemps, plus d’un siècle déjà. Par contre, en quelques minutes nous pouvons commencer à focaliser notre regard sur un aspect essentiel de ce conflit, qui concerne dans le fond, tous les États et même tous les peuples de la planète.
Car ce qui se passe en Israël et en Palestine est peut-être à voir comme une des formes les plus fortement accentuées de problèmes qui existent partout ailleurs, dans tous les autres États du monde.
C'est-à-dire la problématique de l'État qui tend à s’occuper de la totalité de la vie de chaque être humain individuel : de sa culture, de sa santé, de sa langue, de son éducation, de sa « moralité », de ce qu’il doit considérer comme étant des connaissances scientifiques valables, voire dans certains États dans le monde, de ses convictions religieuses ou philosophiques.
En outre, et pas seulement au Moyen-Orient, les États sont aussi instrumentalisés par certaines puissances pour servir des intérêts économiques particuliers, par exemple en leur octroyant l’accès à des ressources naturelles, à la terre ou à certains marchés. Les États interfèrent alors aussi avec la vie économique.
À quoi devrait mener inéluctablement cette mainmise de l’État sur la vie de l’esprit, ainsi que la collusion entre des intérêts économiques particuliers et le fonctionnement de l’État ?
Lorsqu’avec un Gouvernement central, unitaire et pyramidal, l’État prend une forme telle que celui-ci a de plus en plus le pouvoir de gérer l’organisation de la vie sociale dans tous ses aspects, alors il y a toujours des groupes qui finissent tôt ou tard par dominer, voire oppresser un ou plusieurs autres groupes.
Par le moyen du contrôle sur et de l’État, un groupe imposera de plus en plus, par exemple, sa culture, sa langue, son système éducatif, ses mœurs, ses conceptions relatives à la «moralité», ses convictions en matière philosophique, voire religieuses, etc. même dans les cas où il serait persuadé d’être le champion absolu de la liberté, de la sagesse ou du progrès humain.
Via une emprise sur l’appareil étatique, ce groupe octroiera ou s’octroiera aussi des avantages économiques, si nécessaire en s’arrangeant pour promulguer des lois orientées dans ce sens.
Par exemple, au Moyen-Orient il existe une convoitise relative à des champs gaziers qui se trouvent au large d’Israël, de Gaza, du Liban ou de Chypre. Les États se disputent ces ressources minérales. L’accès à l’eau constitue aussi un enjeu vital non seulement pour les populations mais aussi pour l’économie de toute la région. Là encore, plutôt qu’un partage le plus équitable possible, il y a accaparement par certains États.
Bref, cette mainmise grandissante de l’État tend paradoxalement à ce que les citoyens soient alors de moins en moins égaux devant la loi, de moins en moins libres dans leur vie culturelle et spirituelle individuelles, et ils seront soumis à une économie de plus en plus inéquitable.
Ces tendances existent dans tous les États et régimes du monde, et bien sûr en Europe aussi. Elles se manifestent toutefois d’une manière toujours plus extrême et dramatique en certains lieux dans le monde, notamment en Palestine, en Israël et au Moyen-Orient.
Le temps dont nous disposons dans cette très courte vidéo ne nous permet pas de le montrer à travers toutes sortes d’exemples concrets. Les auditeurs actifs dans leur réflexion et recherche, trouveront aisément de nombreux faits et événements qui corroborent de diverses manières cette affirmation.
Pour éviter la domination, voire l’oppression de communautés sur d’autres groupes, la « solution » pourrait-elle consister à créer autant d’États qu’il existe de peuples, ou de langues, de cultures, ou d’ethnies, voire de groupes ayant des intérêts économiques particuliers ? Par exemple, s’il existait deux États dans cette région du monde, un État palestinien et un État israélien distincts, il y aurait-il une possible issue au conflit en cours ?
Rien de réellement fondamental n’aura changé, si chacun des États nouvellement créé est un État avec un gouvernement central qui fonctionne selon le modèle ancien, à savoir qui veut et peut de plus en plus s’occuper de tous les aspects de la vie sociale et humaine. Car l’oppression de groupes dominants réapparaîtra nécessairement, cette fois au sein de chacun de ces deux États.
Par ailleurs, l’idée qui consiste à vouloir créer un État pour chaque peuple, ou culture, ou langue, ou religion, ou ethnie, « nation », etc. ne devrait-elle pas d’emblée apparaître comme absurde dans la plupart des endroits sur la planète ?
C’est pourtant ce que préconisent les nationalistes de tous bords qui promeuvent le concept d’État-nation un peu partout dans le monde : l’État-nation est un type d’État particulier, dans lequel les individus sont sensés appartenir principalement à une seule et même « nation ».
La mise en œuvre de ce concept s’est révélée dévastatrice, particulièrement au cours du XXème siècle, chaque fois que certaines communautés exigèrent qu’existe une soi-disant « homogénéité » ou « pureté » d’un peuple, d’une ethnie, ou d’une culture, etc. sur un territoire national.
Les personnes d’origine juive furent parmi celles qui eurent le plus à endurer d’horribles souffrances, jusqu’à un génocide, du fait de l’application de ce concept complètement délirant par le régime national-socialiste allemand, c’est-à-dire par l’Allemagne nazie.
Nous pouvons encore penser, ceci est un exemple parmi beaucoup d’autres, au partage de l’Inde, au moment de l’indépendance, entre Inde et Pakistan, provoquant jusqu’à un million de morts, et qui aujourd’hui encore est source de tensions permanentes entre ces deux pays.
Or, les courants politiques les plus extrémistes en Israël veulent précisément de plus en plus incarner avec force le concept d’État-nation. En 1948, celui-ci était déjà présent à l’état de germe lors de la déclaration d’indépendance de l’État d’Israël. Et le 19 juillet 2018, est adoptée la loi qui définit Israël, comme « l’État-nation du peuple juif ». Cette loi précise que « le droit d'exercer l'auto-détermination au sein de l'État d'Israël est réservé uniquement au peuple juif ».
Suffirait-il qu’Israël, ainsi que toute autre communauté dans le monde, y compris le peuple palestinien ou certains ennemis d’Israël, abandonnent radicalement et définitivement le concept d’État-nation, pour espérer se prémunir de situations aussi catastrophiques ?
Ce n’est pas aussi simple. Car sans même que se constituent des États-nation, le concept même d’État, tel qu’il est mis en œuvre partout dans le monde, est déjà en soi la cause de très nombreux malheurs qui vont survenir. Or, ceci demeure valable aussi lorsque l’État est fondé sur des bases démocratiques. Pourquoi donc ?
Car l’État ou l’organisation politique, dans leur dimension exécutive, sont toujours pensés selon un modèle ancien, comme une pyramide qui se situe au centre et au sommet de la vie sociale sur un territoire donné. La partie exécutive de l’État est constituée d’un gouvernement avec tous ses ministres et ministères qui veut et peut de plus en plus s’occuper de tout. Cette façon de concevoir l’État exécutif comme un centre unique et pyramidal, ne prévaut pas seulement de plus en plus en Israël ; elle est déjà présente dans tous les États du monde, y compris au sein des démocraties occidentales, même si elles s’en défendent. Pensons par exemple au fait qu’en Occident aussi, c’est l’organisation étatique qui détermine quel doit être le contenu de l’enseignement obligatoirement donné aux enfants dans la plupart des écoles.
La centralisation et la domination de l’État sur la vie des citoyens est toutefois concrétisée de manière plus ou moins forte selon les contrées.
Lorsque l’État ou l’autorité politique finissent par exercer une mainmise sur la totalité des activités de la société, on dit qu’elles deviennent totalitaires (ce qui apparaît être le cas de nombre d’organisations politiques et paramilitaires ou d’États au Moyen-Orient, mais pas seulement là-bas !).
Sans même en arriver au totalitarisme, aujourd’hui une partie grandissante des êtres humains refuse d’être, tels des enfants, sous la tutelle d’un gouvernement qui dirige des pans entiers de leur existence. Ceux-là aspirent à une vie sociale qui soit régie non plus par le haut, mais principalement par la base. De ce fait ce modèle de fonctionnement est périmé et ne peut mener qu’à des contestations, voire des rébellions et révoltes, en nombre grandissant.
Ainsi nous pouvons comprendre qu’une des causes originelles du drame israélien-palestinien trouve sa source certes dans le concept d’État-nation, mais pas seulement : elle trouve déjà sa source dans le concept même de l’État tel qu’il est pensé jusqu’à ce jour et dans la volonté persistante, envers et contre tout, d’appliquer pour la partie exécutive de l’État, c’est-à-dire son gouvernement, ce modèle ancien, celui de la pyramide au centre et au sommet de la vie sociale sur un territoire donné, qui prend de plus en plus de pouvoir pour tout régenter. Ce modèle périmé s’il perdure, ne peut que mener tendanciellement à donner forme, au cours de périodes de temps plus ou moins longues, à des États-nation, voire à des États totalitaires.
Les conceptions philosophiques, scientifiques ou religieuses imposées d’autorité et les décisions économiques inéquitables peuvent d’autant mieux abonder que l’État prend la forme que nous venons de décrire, aggravant les tensions jusqu’aux conflits guerriers.
Et qu'en serait-il s'il existait sur ce territoire un seul État, incluant l’actuelle « Palestine » et l’État d’Israël ?
Dans ce cas, pour ne pas répéter constamment les mêmes erreurs, il faudrait pour le moins un tout autre concept d'État, qui permette le vivre ensemble dans une même région dans laquelle pourrait librement co-exister des cultures distinctes et différenciées, et une véritable équité et réciprocité dans les relations économiques ; cela, sans sombrer dans le communautarisme par exemple.
Ce qui est remarquable, c’est que la plupart des personnes dans le monde, qui avec d’excellentes intentions veulent reconstruire ou remodeler l'État, constatant qu'il fonctionne de moins en moins bien, le veulent avec exactement les mêmes principes, qu’elles le conçoivent à un niveau plus local, régional, national, européen ou mondial. Elles reproduisent à nouveau, sans en être conscientes, le même modèle ancien. Cela ne marchera plus et ne pourra que produire toujours davantage de malheurs.
Le modèle de l’État unitaire, central et pyramidal a fait son temps.
Certaines des catastrophes horribles des temps actuels montrent que nous avons réellement besoin d’une nouvelle conception et forme d’État. Ceci implique qu’il faut pouvoir dépasser les façons ancrées et habituelles de penser.
Il s’agit dorénavant de concevoir un modèle de vie sociale où l’État, laissera progressivement toujours davantage une partie de ses prérogatives et pouvoirs actuels, aux mains de la société civile, qui, pas à pas, s’auto-organisera de manière autonome.
Ce n’est pas par hasard que la devise de la République française « Liberté, Égalité, Fraternité », enthousiasme tant de cœurs humains partout dans le monde. Elle reflète les aspirations profondes et actuelles d’une grande partie de l’humanité. Elle peut servir de guide dans la mise en forme d’un renouvellement de la vie sociale, si elle est correctement comprise et mise en œuvre. Ce n’est pas déjà le cas aujourd’hui.
Ainsi, l’idéal de liberté vise fondamentalement la vie culturelle et la vie de l’esprit dans toutes leurs composantes : éducation, sciences, arts, religions, littérature, philosophie, etc. La sphère culturelle-spirituelle repose sur les aptitudes, talents, facultés de chaque être humain pouvant s'exprimer dans les différents domaines de la vie culturelle.
Les êtres humains sont appelés tout particulièrement à donner individuellement et graduellement forme à une vie culturelle-spirituelle complètement émancipée de la tutelle du Gouvernement central de l’État, c’est-à-dire de son exécutif. Voilà qui modifierait déjà considérablement l’évolution de l’État d’Israël, mais aussi de tous les États européens, par exemple.
Tout cela ne signifie pas qu’il n’y aura plus d’État ! Celui-ci régit le domaine du Droit. Il demeurera le lieu où sont élaborées les lois, qui s’appliquent de manière égale pour toutes et tous. Les citoyens ne sont pas seulement égaux devant la Loi, ils le sont aussi dans son élaboration. Dans le domaine du droit civique dont l'État a la responsabilité, la recherche porte sur la réalisation de l'idée de l'égalité. C’est donc le rôle de législateur qui revient à l’État.
Comme nous l’avons mentionné, il lui sera enlevé pas à pas le pouvoir exécutif de mettre en œuvre les lois, notamment dans la sphère de la vie culturelle-spirituelle. Ce sont les êtres humains qui porteront de plus en plus l’entière responsabilité individuelle de développer cette vie, toutefois dans le respect du Droit égal pour tous établi au sein de l’État politique-juridique.
Enfin, l’État demeurera responsable des institutions assurant et préservant l’élaboration du Droit : par exemple, les services de police, l’organisation de la défense du pays, divers services administratifs, etc.
Quant à la vie économique, qui concerne le domaine de la production, de la distribution et de la consommation de marchandises et de services, étant donnée la complète interdépendance des acteurs dans cette sphère d'activité, son édification repose sur la fraternité entre tous les êtres humains, en définitive à l’échelle mondiale. Cette fraternité naîtra d’associations économiques regroupant producteurs, distributeurs et consommateurs dans un esprit coopératif. Ces association seront développées dans toutes les branches de l’économie. Le « mécanisme de l'offre et de la demande » sera remplacé par la libre expression et l'observation rationnelle des besoins ainsi que par des engagements contractuels entre partenaires, au sein de ces associations économiques, qui deviendront le véritable centre de gravité, humain, de l'économie. Elles ne déploieront qu'une activité économique. Et la base sur laquelle elles travailleront leur viendra de l'organisation juridique et du Droit existant dans chaque État.
Dans le fond, chaque être humain est lié à sa manière à chacun de ces trois domaines. Par son activité il crée le pont entre eux.
Si la devise « Liberté, Égalité, Fraternité » enthousiasme tant de cœurs humains, nous commençons à entrevoir qu’elle est concrètement inapplicable si nous tentons de faire régner le principe d’égalité là où devrait avant tout prévaloir celui de liberté, et vice-versa, ou encore si nous voulons faire régner le principe de liberté là où devrait prévaloir celui de fraternité, etc.
Chacun des termes de cette devise concerne un membre particulier de la vie sociale, qui doit pouvoir s’édifier sur ses propres bases :
- La liberté de l’individu dans le domaine de la vie culturelle
- L’égalité de tous les citoyens dans le domaine de la vie juridique-politique. Il s'agit du domaine du Droit, de la vie de l'État.
- La fraternité dans le domaine de la vie économique.
Sans aucunement prétendre à une solution absolue et définitive à la question sociale, cheminer dans cette direction malgré les obstacles considérables existants actuellement, créerait néanmoins des conditions rendant concrète l’entente entre personnes, peuples, nations et États, alors qu’avec le concept actuel d’État, et pas seulement celui d’État-nation, une telle entente est devenue peu à peu impossible, et pas seulement en Israël et en Palestine.
Pour mieux comprendre ce dont il s’agit que ce qu’il n’est possible de faire dans cette courte introduction, nous ne pouvons que conseiller d’approfondir cette idée. Elle formulée entre autres, sur le site web www.tri-articulation.info, qui présente la triarticulation sociale, proposée pour la première fois par Rudolf Steiner dans son livre « Éléments fondamentaux pour la solution du problème social » qui est extrêmement moderne.
On la trouvera aussi formulée sur d’autres sites internet : www.triarticulation.org ou encore sur Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tripartition_sociale
Comment passer de cette idée, de ce concept à la pratique ?
Il n’existe pas de recettes toutes faites. Chaque être humain est invité à s’emparer du concept, et peut, s’il le comprend agir là où il se trouve de telle façon à orienter la vie sociale dans cette direction, à son échelle.
En langue française, il existe toutefois un site web fortement inspiré par la triarticulation sociale, mais pas que, qui sous d’autres formulations encore, en expose aussi le concept général. Pour changer vraiment de modèle, son point de départ consiste à montrer dans une première vidéo comment ce qui est actuellement dans les mains du Gouvernement d’un État, c’est-à-dire son pouvoir exécutif, les citoyens peuvent eux-mêmes se l’approprier sans plus dépendre en rien de l’État. Dans presque tous les domaines, le pouvoir exécutif ne nécessite pas un État. Ceci est à découvrir sur www.civiliens.info/01
Dans plusieurs autres vidéos, vous découvrirez par exemple comment l’éducation et le système scolaire peuvent devenir progressivement autonomes, gérés par les parents et les enseignants. Autonomes y compris au niveau financier, sans aucunement tomber dans le travers d’une marchandisation des écoles. À découvrir sur www.civiliens.info/21
Ce site web qui s’intitule « Le Temps des Civiliens » imagine le mode de fonctionnement de ce qu’il appelle des services publics de la société civile, une forme de gouvernance par la société civile, ni centralisée, ni décentralisée (à voir sur www.civiliens.info/02 ).
Mais pour progresser dans la concrétisation de telles idées et images, il faut qu’existe au préalable, un droit qui rende possible l’expérimentation sociétale par les acteurs de la société civile, au niveau individuel ou regroupés en organisations de la société civile. Pour comprendre en quoi consiste ce droit à l’expérimentation sociale et pourquoi il est nécessaire, prenez connaissance de la page web www.civiliens.info/03 .
Ainsi les auteurs du site web « Le Temps des Civiliens » présentent à la fois des concepts d’ensemble et imaginent des pistes concrètes qui permettent de métamorphoser la forme actuelle de l’État.
Ce site web embrasse aussi de manière créative et imaginative beaucoup d’autres domaines de la vie sociale que celle concernant l’État. Par exemple, même la gestion du système financier et bancaire peut trouver un tout nouveau souffle s’il est organisé sur des fondations semblables.
Ainsi s’ouvre un chemin de pistes de solutions imaginatives très concrètes qui permet de passer de la situation inextricable existant en maints États et nations dans le monde, y compris en Palestine et en Israël, à une vie sociale, non pas parfaite, mais s’assainissant !