| Sommaire | Dans cette lettre de nouvelles, vous trouverez :
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| | « (…) on peut être aujourd’hui un grand chercheur scientifique, être capable, en d’autres termes, de rechercher et de comprendre les événements et les manifestations sur le plan matériel, selon les méthodes développées au 19e siècle, et néanmoins être parfaitement sot dès lors qu’on aborde les questions de la sphère humaine, de la vie humaine, de la vie éthique et morale en société, de la politique, c’est-à-dire, dès lors qu’on commence à questionner la vie là où intervient l’élément spirituel ; on est alors totalement sot, car les sciences naturelles ne servent alors plus à rien. (…). » Rudolf Steiner
Stuttgart, 23 mai 1918 - GA174b |
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L’avenir de l’école de Michaël - Quelles conditions nécessite une essence mystérique conforme à l’époque ? (II)
« (...) L’organisme universitaire articulé en trois Klassen dont Rudolf Steiner entreprit la construction avec le Congrès de Noël 1923, devait devenir une forme d’apparition terrestre de l’école suprasensible de Michaël en vue d’impulser les diverses ramifications de la vie. Or, quelles conséquences cela pouvait avoir présentement du fait que ce processus institutionnel s’est seulement retreint au niveau de la première Klasse ? Et qu’est-ce que cela signifiait... |
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Des concepts fictifs et enivrants - Formes d’apparition du matérialisme aujourd’hui et voici cent ans 
« (...) On affirme donc ici que l’on peut comprendre l’être humain à l’instar des mêmes concepts au moyen desquels on conçoit un distributeur automatique. Avec cela, tout ce qui fait de l'homme un être humain est amené à disparaître. L'attrait de ce mode de pensée réside dans le fait qu'il permet de ne penser à une personne qu'en termes de choses matérielles. Les pensées qui ont un contenu spirituel sont contraignantes, et les gens ont tendance à éviter de...
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L’Allemagne sur le sentier de la guerre - Les repères d’une aberration 
« (...) Osons un regard plus large : L'humanité ─ du moins une grande partie d'entre elle ─ ne devrait-elle pas avoir atteint le niveau de développement de l'âme consciente qui lui permît d'avoir une vue d'ensemble et d'agir de manière rationnelle, même dans des situations problématiques ? Au lieu de cela, nous constatons malheureusement que (...) »
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Pourquoi être si conformistes ? 
« (...) Un manque général de disposition à vérifier le contenu de réalité des informations, et le sens des instructions : « Le grand danger, aux temps modernes, ne provient pas de la vertu d’attraction des idéologies racistes et nationalistes mais de la perte de réalité. Si la résistance manque faute de réalité, tout devient possible en principe. » (...) »
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La fin de l’histoire ou la guerre des messianismes américain et russe 
« (...) À notre époque de crise et de chaos, il est naturel pour les grandes puissances de s’appuyer sur l’idéologie et l’idéalisme plutôt que sur le réalisme pratique. Les conflits internationaux d’aujourd’hui sont de plus en plus imprégnés d’idéologie, de visions universalistes et messianiques. Bien que l’Occident se soit d’abord engagé sur cette voie dans l’ère de l’après-guerre froide et que la Russie ait semblé renoncer aux projets universalistes...
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L'anthroposophie est-elle une science ? Une nouvelle réponse à une question ancienne 
« (...) une science de compagnie est une institution sociale, une tentative hardie et coopérative, une affaire de savoir partagé, de vérification réciproque, de l'accès ensemble et d'échelles de mesures obligeantes. Croire qu'une science puisse être solitairement menée, c'est un malentendu individualiste. Non pas parce qu'étant à pratiquer rien que par un être humain tout seul, ni parce que tout seul on ne peut rien connaître, et pas seulement parce que les perspectives...
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Brèves récemment publiées
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Pensées anthroposophiques | Quelques extraits de conférences ou de livres de Rudolf Steiner | | | |
Conditions d'admission dans la première classe de l'université libre de science de l'esprit 
« (...) Nous pourrons alors disposer d'un noyau de personnes qui se sentiront vraiment solidairement responsables de ce que l'anthroposophie doit réaliser. Et surtout il sera possible que les petites chapelles disparaissent. Car ce qui a considérablement nui, c'est justement ce besoin de faire bande à part, l'apparition de toutes ces chapelles. Personne ne pourra plus non plus faire cavalier seul. Ceux qui y tiendront absolument pourront le faire dans la Société anthroposophique. Mais pour ceux qui appartiennent aux Classes...
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L’éducation de l’enfant au cours des sept premières années 
« (...) La terre est le seul endroit où l'homme puisse devenir un être libre et il ne peut emporter dans les autres mondes qu'autant de liberté qu'il peut en acquérir sur la terre. Lorsqu'on s'approche du tout petit enfant avec ce sentiment - et les sentiments sont bien les forces les plus importantes pour l'artiste en éducation et en enseignement -, alors on se pose la question : comment doit-on se comporter pour que le tout petit enfant puisse parvenir plus tard à la pleine possession de la conscience de sa liberté ?...
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Pourquoi affirmer qu'il n'existe pas de nerfs moteurs, seulement des nerfs sensitifs ? Sur quoi se fonde cette affirmation ? 
« (...) l'impulsion volitive en tant que telle intervient directement dans le métabolisme de l'homme, et cela, dans tous les processus de ce métabolisme. Ce qui fait la différence entre l'explication qui, s'appuyant sur la recherche anthroposophique, doit être donnée ici et celle qui est reconnue d'ordinaire, c'est que la recherche officielle dit que l'impulsion volitive commence par être véhiculée par le nerf ; ce n'est qu'ensuite qu'elle est transmise aux organes concernés, qui alors exécutent les mouvements. (...) »
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L'organisation (plutôt extérieure) de l'école Waldorf et son cadre pratique 
« (...) Des considérations auxquelles nous nous sommes livrés ici vous aurez en effet retiré la conclusion que l'idée de l'École Waldorf est telle, qu'au sens le plus strict du terme le plan scolaire, les objectifs d'éducation et en général toute l'organisation de l'école découlent pour ainsi dire des forces physiques, psychiques et spirituelles qui apparaissent en l'être humain au cours de sa vie. Ceci a nécessité une organisation tout à fait particulière de l'École Waldorf et cette organisation s'écarte en...
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Le rôle très important que joue le contact naturel entre l'enseignant et l'élève 
« (...) à la façon dont le maître franchit le matin le portail de l'école, pénétré de tout l'esprit de la pratique scolaire, selon que les enfants éprouvent à son égard des sentiments de sympathie ou d'antipathie, c'est tout cela qui fait que les enfants profitent ou non de l'enseignement. Et on peut même se poser la question de savoir lequel est le plus utile : (...) »
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L'école Waldorf ne tient absolument pas à enseigner l'anthroposophie aux enfants 
« (...) Voyez-vous, l'École Waldorf, et du reste toute école qui serait issue du mouvement anthroposophique, ne tient absolument pas à enseigner par exemple l'anthroposophie aux enfants sous la forme où elle existe actuellement. Elle considère même cela comme l'idée la plus aberrante que l'on puisse avoir. Car c'est tout d'abord avec des adultes, parfois même avec des êtres humains déjà bien grisonnants que l'on a à parler d'anthroposophie telle qu'elle se présente aujourd'hui. (...) »
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Être auprès du petit enfant tel qu'il puisse imiter la chose concernée ? 
« (...) l'enfant, lorsque le maître et éducateur se conduit de façon juste, se trouve aussi, pendant les deux premières années et demie de sa vie, dans une sorte de rapport de perception de l'âme à l'égard de ce maître et l'enfant devient un imitateur des plus caractérisés. Et la tâche nous incombe alors, non pas de vouloir apprendre à l'enfant toutes sortes de choses de par notre volonté mais, ce qui est un peu plus inconfortable, d'être auprès de lui tels que l'enfant puisse imiter la chose concernée ; car...
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Vrais et faux alchimistes au Moyen Âge 
« (...) Le Rose-Croix du Moyen Âge découvrait que lorsqu'il produisait une formation de sel, en lui-même montaient des pensées pures, purifiantes. Lors d'un processus de dissolution, il se sentait porté à l'amour, il était pénétré d'amour divin, et, dans le processus de combustion il se sentait prêt au sacrifice, poussé à se sacrifier sur l'autel du monde. (...) »
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| Pensées anthroposophiques en relation avec Noël
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